En master 1 comme en master 2, les étudiant·es du master préparent un mémoire de recherche ou d’application. Ces mémoires sont préparés tout au long de l’année universitaire et soutenus en juin. Chaque étudiant·e propose dans son mémoire une réflexion sur une thématique précise, armée par les concepts des sciences sociales et appuyée sur une enquête empirique. Le travail de mémoire est souvent articulé à un stage réalisé dans une collectivité, un organisme public ou une structure associative. Chaque mémoire fait l’objet d’une direction par un·e enseignant·e de l’équipe pédagogique du Master.
Gilles Barlaud, « Le confinement et les retraités. De l’isolement et du moral en berne, à l’espoir de changements sociétaux grâce aux jeunes »
Dalal Benhenda, « Repenser la proximité dans un contexte de distanciation sociale pendant la crise du Covid-19 chez les travailleurs sociaux du Samu Social de Paris »
Aurélie Chastaingt, « Un entremêlement de crises : la crise sanitaire Covid-19 révélatrice des fragilités de notre système de santé. Regards portés sur les professionnels du parcours de soins »
Jiwon Jeong, « Héritage familial lié à l’usage de drogues : étude exploratoire auprès des étudiants des universités en région parisienne »
Ketsia Jeremy, « Vulnérabilité psychique et relogement. Enquête sur les locataires de logement social ayant des troubles psychiques »
Erika Priam, « Les conseillères sociales des bailleurs sociaux. Entre les pratiques professionnelles des conseillères en économie sociale familiale et la nécessaire rentabilité du bailleur »
Killian Suzanne, « L’orientation des « migrants » vers des soins en santé mentale. Les barrières d’accès à des soins « psy » des populations migrantes et les stratégies des professionnels pour y faire face »
Isabelle de la Taille, « Educateur spécialisé en MECS. Du choix du métier à la professionnalisation »
Natacha Yacoubi, « Le maintien à domicile des personnes âgées dépendantes : entre aidants familiaux et professionnels »
Kensy Bien-Aimé, « La question des pratiques de santé en contexte migratoire: le cas des femmes haïtiennes en Ile-de-France »
Stéphanie Colas, « Les accueils de jour ne sont pas adaptés pour faire face aux crises sanitaires »
Lorenn Contini, « Substances psychoactives : consommations, représentations et prises de risques – Enquête auprès des étudiants à l’université »
Anaïs Dall’Ara, « L’accompagnement de nuit à domicile des personnes âgées : un terrain spécifique »
Rokhaya Gaye, « Souffrir en silence : enjeux sociologiques autour de la prise en charge des enfants en situation de rue au Sénégal »
Mylene Pascual, « La relation médecins-patients dans la contraception : une négociation entre experts et profanes. Le cas de l’arrêt de la pilule »
Andrea Tadeo : « ‘Ça fait mal mais à force on s’y habitue’ : la socialisation professionnelle des apprenties en CAP coiffure face à la prévention des risques professionnels »